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Les Félibres  Manduelois

 Le village de Manduel a vu naître au XIXe siècle et au début du XXe, des félibres dont certains sont passés à la postérité.
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​La plaque d'Eyssette a été placée sur sa maison natale (actuellement Médiathèque de Manduel) pour la deuxième édition du Dimanche des Traditions (Fête votive 2004), marquant le 150e anniversaire du Félibrige, plaque dévoilée par Mme Sabatier, maire de Manduel et Mme Marie-Noële Dupuis Syndic du Félibrige pour le Languedoc.
​Henri-Victor EYSSETTE (Meste Eisseto, lou felibre di Tamarisso).
Il est né à Manduel le 4 février 1831 et mort à Arles le 31 janvier 1921. Fils de paysan, il était parti s’installer, d’abord à Fourques, ensuite au Mas de Verd comme régisseur et a fini ses jours à Arles, rue de la Rotonde. Il a très tôt adhéré au Félibrige, est devenu un très proche collaborateur de Frédéric Mistral on le compte parmi les sept fondateurs du Museon Arlaten. Auteur de textes en prose, de poèmes, il a aussi laissé quelques chansons et de nombreux cantiques tant pour Arles, que pour le pèlerinage des Saintes-Maries-de-la-Mer. Il avait créé un journal « Lou Gau », il a collaboré à « L’Armana Prouvençau », « L’Armana de Lengadò », le journal « L’Aiòli » et laissé un recueil de poèmes « Li Saladello ».
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 celle de Béraud à été placée sur la maison situe sur le cours Jean-Jaurès, où il avait créé une épicerie-charcuterie. Elle a été dévoilée lors de la création du Dimanche des Traditions (dimanche de la Fête votive 2003), plaque dévoilée par Mme Sabatier, maire de Manduel et Florence Disset, première Reine d'Arles a être reçue à Manduel.  
​Antoine BERAUD (lou felibre di Pèd-terrous).
Il est né à Manduel le 1844 et mort à Nîmes le 28 février 1932. Fils de paysan, lui-même paysan, il avait ouvert une petite épicerie-charcuterie sur la place du village. Oublié de tous il avait pourtant fait paraître dans le journal « L’Aiòli » deux poèmes « Lou mes d’Abriéu » et « A la Reino dóu Felibrige Mario Girard emé Jouacin Gasquet », et une chanson pour le Marquis Folco de Baroncelli « Cansouneto d’amista ». On a retrouvé tout de même une cinquantaine de poésie, des cantiques, des chansons et onze « cansoun nouvialo ». Toutes ces œuvres inédites, il a émis le souhait qu’elle puissent être un jour publiées sous le titre : « Mis emperialo ». Il faut signaler que ce félibre était aussi musicien, composait ses chansons, chantait l’église d’une fort belle voie de baryton-basse et jouait du violon à la Société Philharmonique de Manduel.

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 Pierre HUGUES (Majoral du Félibrige).
Il est né à Nîmes le 7 septembre 1903 et mort à Nîmes le ---- 1986. C’est à Manduel qu’il a vécu son enfance chez ses grands parents paternels. Des études au Lycée de Nîmes où il passe son baccalauréat en 1921, poursuit ses études à la Faculté de lettres de Montpellier où il obtient en 1924 ne licence es lettres option histoire et géographie et en 1929un diplômes d’études supérieures. Sa carrière d’enseignant le conduit d’Uzès à Bône, du Lycée français de Prague au lycée de Charleville, il termine sa carrière en 1968 en tant que censeur du lycée Daudet à Nîmes. Il entre à l’Académie de Nîmes en 1955 et en devient le Secrétaire perpétuel en 1962. Entré au Félibrige pour a Santo-Estello de Narbonne en 1924, il est nommé mèstre d’obro en 1948, et élu Majoral en 1955 à la « Cigalo de l’Aubo e de a Tabò ».



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​Cette plaque est posée sur sa tombe dans le cimetière de Manduel.
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​ Tout comme les Trois mousquetaires, nos félibres manduellois auraient pu être quatre. Mais celui qui signait Dorée de Mandieul s’appelait en réalité :
Etienne DORÉE.
Il est né à la fin du XVIIIe siècle (vers 1778) à Beaucaire, mort à Manduel le ---------------. Installé boulanger à Manduel avant 1807, il n’a laissé qu’un écrit connu « Lou Libéraou de bono fé » ou « La Révolutioun dé juié ben jujado », édité à Nismes chez la Veuve Gaude, imprimeur-libraire en 1832, après le décès de l’auteur. Ce document avait été déposé à Paris, à la Bibliothèque royale.


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